Lucie, la sœur de Marie, est venue passer quelques jours avec eux. C’était un couple tranquille, marié, âgé d’une trentaine d’années, sans enfant. Lucie avait vingt-quatre ans et était superbe. Marie, elle aussi, était belle, mais Lucie était éblouissante. Olivier bavait de désir quand elle était là ; Marie l’humiliait, bien consciente qu’il était inutile de le bouder ou de le réprimander pour son insensibilité. Il était honnête : il n’avait jamais essayé de cacher son désir pour Lucie – ou pour d’autres jolies filles d’ailleurs, il ne lui avait jamais menti en prétendant qu’il n’avait d’yeux que pour elle ; s’il voyait une jolie fille, il la regardait, commentait invariablement son attrait. Cela ne veut pas dire qu’il était inattentif à Marie ; au contraire, son désir et son amour pour elle ne faisaient aucun doute, pas plus que son appréciation de son propre attrait. En huit ans de mariage, il ne lui a pas été infidèle, pour autant qu’elle le sache. Et même s’il l’avait été, elle ne l’aurait jamais soupçonné. Il n’en avait jamais vraiment eu l’occasion, elle avait fait de son mieux pour s’en assurer !
Cependant, elle était assez sage pour comprendre que si l’occasion se présentait et qu’une fille montrait son intérêt pour lui, il succomberait. Parfois, lorsqu’elle voyait une femme attirante qu’il n’avait pas remarquée, elle attirait son attention sur l’étrangère, commentant son apparence, sa silhouette ou autre. Lui, à son tour, n’hésitait pas à approuver l’évaluation qu’elle faisait d’un bel homme. Lorsqu’ils faisaient l’amour, il fantasmait parfois à voix haute, l’excitant pendant qu’elle se masturbait, décrivant Marie dans des expériences lesbiennes, ou eux deux dans un plan à trois avec une autre fille, ou elle le regardant faire l’amour avec une autre femme, ou même elle faisant l’amour avec d’autres hommes, parfois plus d’un. De vraies histoires de sexe durant des heures. Leurs ébats avaient diminué au fil des ans ; il avait plus souvent envie d’elle, mais elle se sentait souvent trop fatiguée après une longue journée d’un travail exigeant. Elle en était très consciente, consciente de son fort désir sexuel et de la frustration que lui causait son manque.
Lucie est donc venue passer quelques jours au début des vacances, avant un voyage à l’étranger. Ils ne l’avaient pas vue depuis quatre mois. Elle est arrivée tard dans la soirée, fatiguée par la longue route. Ils ont bavardé pendant une demi-heure puis sont allés se coucher. Olivier essaya de faire l’amour avec Marie, mais elle ne coopéra pas et il abandonna avec découragement.
Le matin, Marie s’occupa de quelques tâches ménagères, puis s’allongea en bikini sur sa chaise longue dans le jardin, en lisant un livre. Olivier travaillait dans la cuisine, posant des carreaux de faïence. Juste avant le déjeuner, il entendit Lucie monter à l’étage, se déplaçant entre la chambre et la salle de bains. Au bout d’un moment, il l’entendit descendre les escaliers d’un pas léger. Il interrompit son travail pour la regarder descendre dans le hall. Elle portait un bikini très minimaliste et d’une luminosité éblouissante. Elle lui lança un joyeux “Bonjour !” et un sourire tout aussi éblouissant que le bikini. Elle était très jolie, avec de longues et épaisses boucles brunes, de grandes jambes minces et magnifiques et des seins incroyables, pleins et à peine contenus par le haut du bikini. Avec un sourire, elle reconnut l’effet qu’elle produisait sur lui et s’arrêta, prenant la pose d’un mannequin dans le hall, à trois mètres de lui. Tu vas avoir de la peluche sur la langue, Olivier ! Il eut un sourire penaud, mais continua à la fixer : “Je ne peux pas m’en empêcher, tu es magnifique ! Et tu le sais.
Merci, et oui, vous avez raison, je suis magnifique et oui, je le sais. Tout cela est dit d’un ton enjoué et objectif qui a transformé le sourire penaud d’Olivier en un amusement ironique.
Ce n’est pas juste de me taquiner ainsi : tu sais ce que je ressens pour toi.
Bien sûr que je le sais. Olivier, tu es le seul homme au monde que je rêverais de taquiner ainsi. Tu es si merveilleusement facile à taquiner, si merveilleusement reconnaissant, et je me sens complètement en sécurité quand je le fais. Ce sont des compliments, soit dit en passant.
Merci. Je me sens beaucoup mieux. Il dit d’un ton ironique, en serrant les dents.
C’est une bonne chose. Bref, où est Marie ?
Dans le jardin, en train de prendre un bain de soleil.
Ok, je vais la rejoindre. Retournez au travail maintenant ! Elle lui adresse un autre sourire et passe dans le salon.
Olivier murmure sous sa respiration : “Salope”, “Mon Dieu, mais j’aimerais bien la baiser”.
Lucie passe la tête par la porte, avec un large sourire : ” C’est ça l’esprit, Olivier ! Je le ferais aussi, si j’étais toi !
Olivier, surpris, étouffa un cri, puis leva les mains en signe de frustration. Lucie rit, saute dans le jardin et trouve sa sœur cachée dans le patio derrière un treillis couvert de roses.
Elle lui dit : “Bonjour !
Oh mon Dieu ! Olivier t’a vue ? Comment va-t-il ? Dois-je appeler le médecin ? Marie s’exclame en simulant l’horreur.
Lucie rit : ” Il va s’en sortir, mais je pense que les deux prochains carreaux seront un peu bizarres ! Cela ne vous dérange pas, n’est-ce pas ? Elle s’allonge sur la chaise longue à côté de Marie.
Elle s’allongea sur la chaise longue à côté de Marie.
Non, c’est idiot ! C’est moi qui porte ça ? Je sais qu’Olivier est plutôt, euh … ‘
Désespéré par un désir non dissimulé ?
Lucie s’esclaffe : “Eh bien, maintenant que tu en parles !
Le pauvre bougre perd la tête quand il te voit. Tu es vraiment trop belle. Il ne peut pas s’en empêcher.
“Ça ne te dérange pas ?
A quoi cela servirait-il de s’en préoccuper ? C’est complètement indépendant de sa volonté ! Et je suppose que je ne l’aide pas beaucoup.
Qu’est-ce que tu veux dire ?
‘Oh, rien. C’est juste qu’il n’a pas autant de rapports sexuels qu’il le voudrait – je suis invariablement trop fatiguée.
Elle sourit à sa grande sœur, puis regarde le jardin : “Est-ce que je peux me mettre torse nu ici ?
Bien sûr. Personne ne peut voir cette partie de la maison.
Lucie enlève le haut du bikini et s’allonge. Marie, qui la regarde, gémit : “Ce n’est pas juste”.
Lucie se retourne, voit Marie qui la regarde et sourit : “Tu n’es pas mal non plus, enlève ton haut”.
Elle enlève son bikini et exhibe ses seins.
Ils sont magnifiques, pas de vergetures, pas d’affaissement. Arrête de t’agiter !
Elles s’allongent et ferment les yeux. Lucie rêvassait, se rappelant la façon dont Olivier l’avait regardée. Il ne portait qu’un short. Lui-même avait un beau corps. Mince. Des cheveux bouclés et un sourire chaleureux. Et il est resté bouche bée en la regardant. Je sais qu’il aimerait me baiser. Elle ouvrit les yeux et regarda son corps, ses seins pleins et fermes sur sa poitrine, les mamelons se dressant à peine tandis qu’elle se contemplait. Elle regarda ses seins, légèrement bombés dans le tissu fin et serré de son bikini, la courbe de ses hanches à partir de sa taille fine et ses longues jambes. Mon Dieu, mais tu es belle. Si j’étais un homme, je te voudrais ! Et Olivier doit être désespéré si Marie ne le laisse pas faire. Un petit sourire malicieux franchit ses lèvres. Elle avait chaud et se sentait décidément très excitée. Et malicieuse. Tu veux boire quelque chose ?
Mmm. Il y a du vin dans le frigo.
Lucie se lève : “Olivier va-t-il s’en sortir si j’entre comme ça ?
Marie la regarde : “Ça va probablement le tuer… Vas-y, donne-lui des frissons ; je sais que tu meurs d’envie de les lui montrer. Criez si vous avez besoin d’aide. Elle roula les yeux en signe de résignation.
Lucie sourit et retourna à la maison. Elle entra discrètement dans la cuisine, observant Olivier qui, dos à elle, ajustait un carreau. Elle s’arrêta deux pas derrière lui. Qu’en penses-tu ?
Surpris, il s’est levé d’un bond en étouffant un “Merde !” et s’est retourné pour lui faire face. Ses yeux s’écarquillèrent d’incrédulité lorsqu’il la vit se tenir calmement devant lui, les bras le long du corps et les épaules en arrière pour souligner la poussée et la plénitude de ses seins, un petit sourire complice observant son visage. Il resta immobile pendant plusieurs secondes, regardant son corps de haut en bas, revenant constamment sur ses seins. Incroyable ! Elle lui adressa un sourire chaleureux et triomphant. Si joliment modelés, si pleins, si fermes”, murmura-t-il, “et pas d’ingrédients artificiels”.
Et sans aucun ingrédient artificiel.
En effet.
Il la regarda d’un air perplexe. Elle n’essaya pas de bouger, de l’empêcher de l’inspecter. Il s’avança timidement. Elle sourit à nouveau. C’est bon, continuez”, dit-elle doucement. Il tendit la main droite et caressa doucement son sein gauche, s’émerveillant de sa plénitude et de sa résistance. Son mamelon se dressa et se pressa dans sa paume. Il commença à caresser son sein droit avec son autre main, les prenant dans ses mains pour en sentir le poids, pinçant doucement ses mamelons entre le pouce et l’index. Elle observa son visage, si enfantin dans son émerveillement et sa concentration, puis ses mains qui se déplaçaient sur ses seins. Elle se sentait très excitée. Elle leva les bras et les passa sur ses épaules, autour de son cou, s’avança et se mit sur la pointe des pieds pour se presser lentement contre lui et l’embrasser passionnément. La sensation de ses seins contre sa poitrine était électrique. Ses mains glissèrent le long de son dos, sur ses fesses, tirant doucement ses hanches contre lui. Elle répondit instantanément, pressant fermement son mamelon contre son érection qui durcissait rapidement et se frottant doucement contre elle. Le bout de ses doigts glissa à l’intérieur de son bikini et saisit ses fesses, puis glissa autour d’elle pour éloigner doucement ses hanches des siennes.
En tournant son bras droit, il a fait glisser sa main sur son mamelon et a glissé ses doigts sous elle. Elle écarta les pieds pour lui laisser plus d’espace, puis sentit ses doigts frotter sa vulve à travers le tissu fin. Elle l’embrassa encore plus fort, ses doigts caressant l’arrière de sa tête et saisissant ses cheveux bouclés. Sa main remonta et glissa à l’intérieur de la ceinture du bikini, à travers les boucles serrées, pour se glisser entre ses lèvres humides. Elle sursauta lorsque le bout de son doigt frotta son clitoris et s’enfonça en elle. Il retira sa main et, des deux mains, fit descendre le bikini sur ses hanches et la retourna pour qu’elle s’appuie sur le plan de travail. En regardant par-dessus son épaule, elle le vit baisser son short et dégager son pénis en érection.
Se hissant sur la pointe des pieds, les pieds écartés, s’appuyant sur ses mains au bord du plan de travail, elle s’est penchée en avant pour pousser ses fesses vers l’arrière et vers le haut pour lui. Il se plaça entre ses pieds, saisit délicatement ses hanches, observa ses fesses nues, la moue rose et luisante de sa vulve, puis elle sentit son pénis brûlant se presser entre ses fesses avant qu’il ne fléchisse les genoux et ne le positionne entre ses lèvres. Redressant les jambes, il l’enfonça doucement et fermement, délibérément et lentement, savourant le premier contact. Elle gémit doucement en signe d’encouragement, gardant ses hanches fléchies et se repoussant sur lui, puis se penchant lentement en avant, sentant son pénis sortir d’elle. Il la tenait par le haut des hanches, l’enfonçant et l’attirant sur lui en même temps, tout en respirant bruyamment.
Mon Dieu, tu es si bonne ! Si belle et si serrée. Si douce et humide. Je ne vais pas tenir longtemps !
C’est bon, finis vite. Elle avait la tête penchée en avant, regardant ses seins frémir sous l’effet de ses poussées, se concentrant sur les sensations de son pénis épais qui entrait et sortait d’elle, sentant ses spasmes à l’intérieur lorsque, étouffant des halètements de libération, il poussait fort en elle, son orgasme étant intense et durable. Il se maintint en elle jusqu’à ce que les spasmes s’apaisent, donnant quelques coups supplémentaires contre la résistance de ses fesses, puis se retira et remonta son short. Elle se retourna, releva son bikini et ils se jetèrent l’un contre l’autre, s’embrassant passionnément.
Au bout d’une minute, elle se dégagea et le regarda : “Je ferais mieux de sortir, je suis venue chercher du vin”.
Il acquiesce : “C’était incroyable. Mon rêve le plus fou est devenu réalité ! Elle lui sourit, puis se retourna et sortit le vin du réfrigérateur. Il lui donna deux verres qu’il sortit d’un placard. On peut refaire l’amour ? lui demanda-t-il, incertain.
Elle l’embrasse rapidement et sourit : “Bien sûr. Mais pas tout de suite ! ” et sortit de la cuisine en sautillant, le laissant debout, engourdi et abasourdi par ce qui venait de se passer, un sourire maladif sur le visage et une lueur agréable dans l’aine.
Lucie essaya désespérément de se calmer alors qu’elle retournait vers le patio, vérifiant que son corps ne présentait pas de signes révélateurs. Je n’ai pas trop rougi. Mais je ferais mieux d’aller aux toilettes rapidement. Mon Dieu, je n’avais pas prévu que cela arrive ! J’allais juste le laisser jeter un coup d’œil et peut-être même le toucher. Et maintenant, qu’est-ce que j’ai fait ? Pourquoi l’ai-je laissé faire ? Pourquoi l’ai-je laissé me baiser ? Et si Marie était entrée ? ! Qu’est-ce que je fais maintenant ? C’était sacrément bon !
Elle a contourné le treillis et Marie a levé les yeux : “J’étais sur le point de venir te sauver”.
C’est bon, il a été très bon. Il a essayé tant bien que mal de ne pas regarder, ce qui a été pire pour lui. Elles gloussent. Je dois aller aux toilettes. Elle est entrée en trottinant, a jeté un coup d’œil à Olivier qui souriait et l’a salué en courant vers l’étage. Quelques minutes plus tard, elle redescendit, sauta dans la cuisine, se jeta dans ses bras, l’embrassa passionnément puis s’arracha pour retourner dans le jardin. Elle s’allongea à côté de sa sœur avec un grand soupir et prit le verre de vin qu’on lui proposait.
A la vôtre !
A la vôtre.
Elles s’allongèrent à nouveau et fermèrent les yeux. L’esprit de Lucie était en ébullition. C’était si agréable quand il touchait mes seins. Il était si doux, il les touchait si gentiment. Pourquoi ai-je fait ça ? Tu savais qu’il se passerait quelque chose. Tu le voulais ! C’est le mari de ta soeur. Il est charmant. Et maintenant il m’a baisée. Et je veux qu’il le fasse encore. Mon Dieu, je veux qu’il me le fasse maintenant ! Elle gémit doucement, se tortillant doucement sur la chaise longue, serrant ses cuisses l’une contre l’autre, sentant la pression contre sa vulve.
Si tu te sens si excitée, pourquoi ne fais-tu pas quelque chose pour y remédier ?
Elle ouvre brusquement les yeux, choquée et coupable, et se tourne vers sa sœur qui la regarde fixement : ” Quoi ? Oh mon Dieu, c’est si évident que ça ? elle sourit.
Elle sourit. Vas-y, ça ne me dérange pas, tant que tu ne le fais pas. Il se peut même que je me joigne à vous”.
Lucie s’esclaffe : ” Et puis merde, on est des grandes filles, et oui, je me sens aussi excitée que ça ! Ouvrant les jambes, elle mit la tête en arrière, ferma les yeux et lécha son index droit, l’enduisant de salive, puis le glissa doucement entre et autour de ses lèvres, puis dans son vagin. Elle sentait en elle le reste du sperme épais d’Olivier, a remonté son doigt et a commencé à le frotter sur son clitoris, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Sa main gauche pressa et caressa son sein gauche, pinçant le mamelon alors qu’elle se remémorait la scène dans la cuisine. En jetant un coup d’œil, elle vit Marie, maintenant elle-même nue, qui l’observait, se masturbant délibérément.
J’y suis presque ! Lucie sursauta, puis son orgasme la submergea lorsqu’elle vit sa sœur nue se masturber à côté d’elle. Elle se tordit sur la chaise longue, haletant bruyamment, serrant ses jambes contre son doigt qui bougeait rapidement. L’orgasme dura des heures. Elle se calma, s’allongea sur le côté pour regarder sa sœur, toujours en train de se masturber, maintenant allongée sur le dos, les genoux relevés et écartés. Au bout de quelques minutes, la main gauche de Marie se tendit vers elle.
Aidez-moi ! Lucie se lève et s’agenouille à côté d’elle en lui prenant la main : “Qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
Je ne sais pas, n’importe quoi ! Touche-moi ! Je veux finir, mais je n’y arrive pas !
Lucie, d’abord craintive, tend la main et presse doucement le sein de sa sœur.
Oui, c’est bien.
Elle pince doucement le mamelon, regarde la main de Marie entre ses jambes, le doigt frottant rythmiquement le clitoris ferme, rose et luisant. Marie a ouvert les yeux et l’a regardée, puis elle a regardé la main qui caressait son sein, puis elle l’a regardée à nouveau. Elles se sont souri l’une à l’autre en s’encourageant mutuellement.
Je peux toucher le tien ?
Si tu veux.
La main de Marie se tendit et caressa le sein de Lucie, encore sensible après son orgasme.
C’est très agréable.
Le tien aussi. Je n’avais jamais caressé les seins d’une femme auparavant. Pas étonnant que les hommes aiment le faire”. Elle se penche en avant et embrasse le mamelon de Marie, puis l’aspire dans sa bouche.
Marie a parlé doucement : “C’est adorable. Ne t’arrête pas.
Lucie pinça doucement le mamelon entre ses dents, comme elle aimait qu’on le lui fasse, puis le suça fermement dans sa bouche. Avec son autre main, elle commença à caresser l’autre sein de Marie. Elle sentait Marie se crisper et savait que son orgasme était imminent. Elle augmenta la pression et le rythme de ses caresses et de sa succion, sentit la main de Marie presser son sein, puis Marie jouit, criant et haletant. Quelques instants plus tard, vidée, elle se laissa aller sur la chaise longue. Lucie lui lâcha les seins et observa son visage, sur lequel s’étalait un sourire satisfait et détendu. Elle ouvrit les yeux et regarda sa sœur.
C’était merveilleux. Je te remercie. Désolée si c’était un peu bizarre, mais j’en avais tellement envie et je n’y arrivais pas toute seule. Olivier aurait normalement dû m’aider “, dit-elle d’un air légèrement embarrassé.
Ce n’est pas grave. C’est la plus belle chose que j’ai jamais faite. Je voulais vraiment que tu y arrives. Elle sourit malicieusement, puis se penche en avant et embrasse sa sœur sur les lèvres, s’attardant lorsqu’elle sent que le baiser lui est rendu. En quelques instants, elles s’embrassaient à la française, Lucie se penchant en avant pour presser ses seins contre ceux de Marie. Marie a entouré Lucie de ses bras et l’a serrée contre elle. Au bout de quelques secondes, elles se séparèrent doucement, se regardant avec étonnement et culpabilité.
Oh, mon Dieu ! dit Marie à voix basse.
Au secours !
Est-ce que c’est vraiment arrivé ?
Oui.
Elles se regardent dans les yeux, n’osant pas rompre le silence.
Nous ferions mieux d’aller voir comment Olivier s’en sort. Préparer le déjeuner.
Oui. Dans une minute. Tu es toute rouge.
Oui, bien sûr.
Ils se lèvent et enfilent leur bikini, puis se promènent dans le jardin en silence, réfléchissant tous deux à ce qui s’est passé.
‘Ça va maintenant?’
Oui, tu vas bien.
Ils rentrent à l’intérieur, essayant tous les deux d’avoir l’air sérieux en se dirigeant vers la cuisine. Olivier se lavait les mains.
Nous ne bavardions pas, Olivier, nous discutions de l’effet du réchauffement climatique sur l’agronomie dans l’Hindu Kush”, dit Marie en roulant les yeux avec résignation.
Et à quelle conclusion êtes-vous arrivés ?
Que Doreen, à l’autre bout de la rue, le fréquente depuis le numéro 13″, s’exclame Lucie.
La salope”, siffle Marie, les mains sur les hanches.
Olivier sourit, mais il est nerveux intérieurement quand Lucie, debout derrière Marie, attire son attention et lui fait un clin d’œil. Vous préparez le déjeuner, mesdames ?
Oui, je suppose. Qu’est-ce que tu veux, mon chéri ?
Je prendrai une bière et je regarderai les nouvelles.
Une salade ?
Très bien”, répond-il en se rendant dans le salon.
Les deux femmes préparèrent le déjeuner, qu’ils mangèrent tous à la table de la salle à manger ; Lucie joua à cache-cache avec Olivier. Toutes deux se comportèrent de manière tout à fait normale et Marie ne sembla pas se rendre compte de ce qui se passait. Une fois le repas terminé, Olivier a emporté sa bière dans le patio ; Marie et Lucie ont débarrassé la table. Dans la cuisine, Marie se tourne vers Lucie : “Qu’est-ce qui se passe, Lucie ? Si tu dois faire le pied à Olivier devant moi, fais-le au moins de manière ostensible, pour que je sache que ce n’est qu’un jeu”. Lucie rougit. Ah… je vois, ce n’est pas un jeu. Merde, Lucie, qu’est-ce que tu lui as fait ce matin ? Tu ne l’as pas fait… tu l’as fait ! Tu es venue ici et tu l’as baisé ! Pendant que j’étais assise dehors ! Tu es entrée, tu as montré tes seins à ce pauvre bougre, puis tu l’as baisé ! Et ensuite, tu es sortie et tu m’as encouragée !
Oh, Marie. Je suis désolée, c’est arrivé comme ça”.
Non, ce n’est pas le cas. Tu es venue ici les seins nus, en sachant très bien l’effet que cela aurait sur lui. Ce n’est qu’un homme. Il n’a aucune maîtrise de soi quand une femme comme toi s’offre à lui. Maintenant, il va être inutile, se morfondre en te désirant, essayer de me baiser tout le temps quand tu n’es pas là…”.
Lucie avait maintenant l’air surprise. ‘Cela ne te dérange pas qu’il t’ait été infidèle, n’est-ce pas ? c’est juste l’effet que cela aura sur lui, en devenant un inconvénient pour toi’.
Non, idiot, pas pour moi : pour lui-même ! Il va se ridiculiser en essayant d’avoir une liaison avec toi, en essayant de me la cacher. Tous ces mensonges et ces excuses qu’il va devoir inventer, tout l’argent qu’il va se sentir obligé de dépenser pour toi, et essayer de me le cacher. Il aura peur que je veuille faire l’amour après qu’il l’ait fait avec toi. Il sera une épave nerveuse”.
A ce moment-là, Lucie affichait un large sourire : “Tu es une vraie star, Marie. J’ai cru que tu allais me tuer.
Ne sois pas bête. Quel serait l’intérêt : on ne peut pas s’empêcher de ressembler à ça… “, dit-elle en faisant un signe de la main à Lucie, ” … et quand on ressemble à ça, une femme ne peut pas s’empêcher d’en faire l’étalage. Olivier ne peut pas s’empêcher d’être un homme, mais je l’aime et je veux le garder, ne l’oubliez pas. Baise-lui la cervelle si tu le souhaites, mais ne me l’enlève pas”.
Lucie s’est avancée et a serré sa sœur dans ses bras. Je ne le ferai pas. De toute façon, il ne te quitterait pas. Il t’aime trop, comme tu l’aimes. Et je suis désolée pour ce qui s’est passé dans le jardin.
Ne t’inquiète pas, il n’y a pas de raison de l’être : c’était charmant, et très excitant !
Lucie regarde sa sœur avec insistance : “De plus en plus curieuse… tu as vraiment aimé ça, n’est-ce pas ?
Oui, n’est-ce pas ?
Lucie s’arrête un instant, réfléchissant. Oui, c’est vrai. Beaucoup, en fait.
Eh bien, le plaisir est le plaisir, quelle qu’en soit la source. Tu es magnifique, Lucie ; te regarder te masturber était un spectacle très érotique. Que tu me touches, que tu m’aides pendant que je me masturbe a été une expérience très érotique. Le fait que tu sois ma sœur l’était encore plus : c’était doublement coquin. Je vais être honnête avec toi : Je m’attendais à moitié à ce que tu fasses ce que tu as fait avec Olivier ce matin. Dès que tu m’as demandé si cela me dérangeait que tu viennes ici les seins nus, j’ai su que tu avais l’intention de faire plus que de le taquiner, que tu allais le laisser te toucher. Je suis restée allongée, pensant à ce que vous faisiez tous les deux ici, vous imaginant en train de vous bécoter, Olivier caressant vos seins. Et j’ai été très excitée. Quand tu es sortie, j’ai su que tu avais batifolé avec lui – même si je ne pensais vraiment pas que vous aviez fait l’amour – tu avais l’air si… excitée, coupable, excitée ; ce n’est pas bon, tu ne peux vraiment pas le cacher Lucie. Quand tu étais allongée, tu avais visiblement envie de te branler. C’était bien avec Olivier ?
Oui. Très bien. Brève, excitante et dangereuse. Honnêtement, quand je suis venue ici, je n’avais pas l’intention de faire l’amour avec lui, juste de flirter, peut-être de l’embrasser et de le câliner. Mais quand il m’a touchée, tout s’est enchaîné, j’ai voulu qu’il me prenne. Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Tu as encore envie de lui ?
Oui.
Moi aussi. Maintenant, en fait. Allez, faisons-lui plaisir : c’est l’un de ses fantasmes préférés. Tu te sens bien à ce sujet ? Ça ne marchera pas si nous ne sommes pas tous les deux heureux. Tu sais ce que nous allons faire”.
Lucie, brièvement, se sentit et parut choquée, puis intriguée et excitée. Elle s’est ensuite montrée intriguée et excitée. Tu es sûre ?
Je me sens plus en sécurité avec toi qu’avec n’importe quel autre bar Olivier.
Marie entraîna Lucie hors de la cuisine. Olivier était assis à contempler le jardin. Il leva les yeux lorsqu’ils s’approchèrent et se sentit soudain inquiet lorsqu’il remarqua leur regard déterminé.
Olivier, chéri, Lucie et moi avons eu une petite conversation…”.
Oh, merde, regardez…
Tais-toi, Olivier, c’est bon, je comprends très bien, mais maintenant tu dois te rattraper. Monte à l’étage. Ne dis pas un mot.
Lucie et Marie, qui lui adressaient un sourire complice, lui prirent chacune une main et le tirèrent à ses pieds, puis l’entraînèrent à l’étage. Le pouls et l’imagination en ébullition, Olivier suivit Lucie, les yeux rivés sur ses fesses et ses jambes minces tandis qu’elle le précédait dans l’escalier. Lorsqu’ils entrèrent dans la chambre principale, Marie se tourna vers lui, lui passa les bras autour du cou et l’embrassa passionnément.
Olivier, tu as beaucoup de chance : tu vas faire l’amour avec nous deux. Si tu es vraiment bon, Lucie et moi rendrons cela très agréable pour toi. Je sais que tu as eu des fantasmes honteux dans le passé à ce sujet, alors c’est l’occasion de les mettre en pratique”.
En finissant de parler, elle a enlevé son maillot et a repris leur étreinte. Lucie, enlevant son haut de bikini, s’est placée derrière Olivier, a passé ses bras autour de leur taille et s’est pressée contre son dos. Olivier gémit de plaisir. Les deux femmes gloussent et le serrent contre elles. Il pressa son érection contre le ventre de sa femme, passa ses mains le long de son corps familier, essayant désespérément d’absorber toutes les sensations de ses seins écrasés contre sa poitrine et de ceux de Lucie contre son dos. Lucie a tiré sur la ceinture de son short, l’a fait descendre le long de ses jambes jusqu’au sol, puis a glissé ses mains entre lui et Marie pour saisir son pénis. Marie, rompant le baiser, regarda sa sœur caresser l’érection de son mari, puis s’agenouilla devant lui. En regardant par-dessus son épaule, Lucie poussa son pénis vers le bas et l’offrit à la bouche de Marie, remuant doucement le prépuce d’avant en arrière tandis que Marie caressait et pressait ses testicules. Après plusieurs minutes, Marie se leva et conduisit Olivier sur le lit, le poussant sur le dos. Les deux femmes enlevèrent leurs pantalons de bikini et montèrent sur le lit, Marie à califourchon sur lui, saisissant son pénis et le positionnant pour s’enfoncer sur lui.
Lucie était allongée à côté d’eux, pressée contre Olivier, son bras autour d’elle, tandis qu’ils s’embrassaient. Marie les regardait, regardait Olivier caresser le sein de Lucie, les regardait s’embrasser. Elle passa la main sur la hanche de Lucie, sur ses fesses, sentant la douce fermeté, glissa doucement le bout de ses doigts entre ses fesses; Lucie bougea, grimpa sur Olivier et ouvrit ses jambes pour permettre à Marie d’y accéder. Marie pouvait voir la vulve de sa sœur, ses lèvres gonflées et écartées, luisant d’un éclat rose entre elles. Elle passa doucement le bout d’un doigt entre les lèvres de Lucie, sentant la chaleur et la douceur collantes, puis trouva le bouton ferme de son clitoris. Lucie gémit, remua les hanches, les poussant vers le haut en signe d’encouragement tandis que Marie glissait son doigt à l’intérieur de son vagin, puis reporta son attention sur le clitoris de Lucie. Tout en masturbant sa sœur, Marie lui caressait les seins de sa main libre et travaillait doucement sur Olivier, sentant son pénis en elle, serrant ses muscles contre lui, le regardant s’embrasser avec Lucie.
Lucie s’est redressée et a grimpé sur les épaules d’Olivier, se présentant à son visage ; elle a senti sa langue travailler son clitoris, s’est penchée en avant et a attiré Marie vers elle pour un baiser passionné. Les mains de Marie trouvèrent les seins de Lucie, puis se glissèrent derrière elle, l’attirant vers elle. Lucie se dégagea de la langue insistante d’Olivier et pressa son corps contre sa sœur pendant qu’elles s’embrassaient. Olivier les observait, passant ses mains sur les fesses de Lucie, écartant ses fesses avec ses pouces, puis enfonçant un doigt dans son vagin. Il sentit Marie se détacher de lui, puis la regarda se tortiller sur le lit, tirant Lucie en position pour qu’elle prenne sa place. Il regarda entre ses jambes son pénis disparaître en elle, se délectant de la sensation lisse et serrée de son vagin qui glissait sur lui. Il gémit, poussant ses hanches vers le haut. Marie tira les jambes de Lucie vers l’avant jusqu’à ce qu’elle soit assise sur ses hanches, puis la poussa en arrière pour qu’elle s’allonge sur lui. Il lui caressa les seins, les saisissant et les pressant doucement, les offrant à Marie qui écarta les jambes et s’agenouilla pour sucer les mamelons proéminents.
Elle s’allongea sur Lucie, alternant les baisers avec Olivier, frotta doucement son pubis d’avant en arrière contre la vulve de Lucie, puis s’appuya sur des bras croisés pour que les deux caressent ses seins. Après quelques instants, elle s’agenouilla, puis s’assit sur ses fesses, les mains légèrement posées sur les cuisses minces de Lucie, pour observer la scène qui s’offrait à elle. La racine du pénis d’Olivier, luisante du jus de Lucie, distendait l’entrée vaginale de Lucie tandis qu’elle se déhanchait doucement pour lui, tandis que son scrotum, mou et mince autour de ses testicules, s’affaissait sur ses fesses. Marie se pencha en avant, souriant aux deux hommes qui la regardaient maintenant avec attention, et lui donna un doux baiser, puis l’aspira doucement entre ses lèvres, fermant les yeux et respirant profondément l’odeur propre et musquée de Lucie. Lucie sursaute.
Mon Dieu, c’est sexy, Marie “, murmure Olivier en levant la tête par-dessus l’épaule de Lucie.
Mmm. gémit Lucie, qui s’appuie maintenant sur ses mains pour regarder sa sœur la lécher amoureusement. Olivier, qui caressait les seins de Lucie, sentait la langue de Marie glisser le long de la racine de son pénis, sur ses testicules et en arrière, et Lucie frémissait lorsqu’elle léchait son clitoris. Marie se concentra sur Lucie et, au bout de quelques minutes, l’orgasme de Lucie la submergea par vagues successives, tandis qu’elle s’enfonçait avec force, ses muscles vaginaux se resserrant sur l’épais pénis d’Olivier, haletant dans une glorieuse libération. Elle s’effondra sur Olivier, dont les bras se replièrent autour d’elle.
Oh ! Marie ! C’était incroyable !
Olivier embrassait son cou et ses épaules tandis que Marie, le visage luisant du jus de Lucie, grimpait sur elle. Lucie, submergée, tenait la tête de sa sœur à deux mains et l’embrassait affectueusement.
Olivier, qui avait maintenant envie de s’adonner à une sexualité plus active, fit rouler les deux femmes sur le lit, puis s’agenouilla entre leurs jambes, les regardant s’embrasser et se caresser. Se penchant en avant, il s’enfonça dans Marie et commença à la baiser avec détermination. Lucie lui sourit par-dessus l’épaule de Marie, tandis que cette dernière répondait par de petits halètements de plaisir, poussant ses hanches contre lui lorsqu’il atteignait l’apogée de sa poussée en elle. Il regarda Lucie passer ses mains sur les fesses de Marie, les tirant vers le haut et les écartant pour augmenter la tension sur sa vulve et attirer son clitoris contre son pénis. Le bout de ses doigts passait doucement sur les lèvres tendues de Marie, puis taquinait son anus.
Oh, c’est bien, Lucie. Plus fort, Olivier ! Ne vous arrêtez pas, l’un ou l’autre !
Olivier, stimulé par la vue du bout du doigt fin de Lucie qui entrait et sortait de l’anus de Marie, a joui avec de grandes poussées à l’intérieur de Marie qui haletait, puis s’est maintenu rigide à l’intérieur d’elle tandis que les spasmes exquis s’estompaient. Il s’effondra sur les deux femmes. Lucie, écrasée au fond, gémit sous leur poids combiné.
Urgghh ! Olivier ! Lâche-moi !
Olivier descendit des deux femmes en riant et s’effondra à côté d’elles.
Ok Olivier, je suis prête maintenant ! lui dit Lucie avec joie. Il lui lance un regard complètement épuisé.
Aie un peu de cœur, Lucie, je ne suis qu’un homme ! Je ne suis qu’un homme !
Les deux femmes se mirent à rire d’un air bon enfant. Marie descendit de Lucie, l’embrassa longuement avant de s’éclipser dans la salle de bains. Lucie se tortille et se blottit contre Olivier, caressant doucement son pénis mou, gorgé du jus de Marie et de son propre fluide.
Eh bien, quelle femme tu as !
En effet. J’ai du mal à croire que c’est arrivé.
Elle s’agenouilla, tenant toujours son pénis, puis se pencha en avant et l’aspira dans sa bouche, goûtant le sel musqué tandis qu’elle faisait tournoyer sa langue autour du gland mou. Il gémit de reconnaissance.
Marie revint et s’agenouilla à côté de lui, étudiant le visage de sa sœur pendant qu’elle le suçait. Lentement, il commença à durcir à nouveau. Marie se caressa la vulve en les regardant, puis, levant les yeux vers Olivier, lui sourit et s’assit, les jambes largement écartées, l’une en travers de ses jambes, l’autre parallèle à son corps, et commença à se masturber délibérément pendant qu’elle regardait Lucie fellationner son pénis maintenant en érection. Prenant plaisir à jouer pour son public, elle regardait alternativement Olivier et Lucie, tous deux concentrés sur sa masturbation, observant son doigt frottant sur son clitoris ou s’introduisant dans son vagin. Elle s’est penchée en arrière pour leur permettre de mieux la voir en entier, glissant maintenant deux doigts le long de sa vulve et à l’intérieur d’elle-même.
Lucie, maintenant satisfaite de l’érection d’Olivier, grimpa sur ses hanches et s’empala sur lui. Marie se déplaça sur le lit de façon à ce qu’ils puissent tous deux la voir. Elle se concentrait maintenant sur Lucie, regardant ses magnifiques seins qu’Olivier caressait, sa taille fine et la houle de ses hanches, ses longues cuisses minces de part et d’autre d’Olivier, la regardant monter et descendre sur Olivier, regardant Lucie la regarder. Elle sentait l’orgasme d’Olivier approcher, regardait Lucie se glisser entre ses jambes et commencer à se masturber, tous trois haletant, espérant pouvoir jouir ensemble. Olivier, hors de contrôle, jouit avec un cri, puis les deux femmes, quelques instants plus tard, jouirent ensemble, haletant et criant dans une glorieuse extase. Lucie s’effondra sur Olivier, puis glissa doucement sur lui tandis que Marie se blottissait contre lui. Olivier les tenait serrées dans le creux de chaque bras.
Lucie se pencha sur la poitrine d’Olivier et embrassa sa sœur. C’est vraiment la chose la plus érotique qui me soit jamais arrivée.
Moi aussi. Merveilleux.
Mmm”, marmonna Olivier, qui s’endormit.
Les deux femmes se regardèrent dans les yeux, se souriant l’une à l’autre sur sa poitrine, dans un nouvel amour partagé. Elles se tenaient par la main, chacune ayant une jambe passée par-dessus celle d’Olivier.
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